Barbey : D'azur, à deux bars adossés d'argent ; au chef cousu de gueules, chargé de trois besants d'or. (Auvergne)
Bartet : D'azur, à trois barbeaux d'argent posés en barre. (Île-de-France)
Blamont (de) Comtes : De gueules, à deux bars adossés d'argent. Cimier : Un chapeau pyramidal de gueules, retroussé d'argent, sommé d'une boule du même, supportant trois plumes d'autruche aussi d'argent, ledit chapeau accosté de deux bars d'argent, en pals, la tête en bas, soutenus du retroussé. (Franche-Comté, Lorraine)
Bonnevie de Pogniat (de) Baron de l'Empire, 13 mars 1811 : Écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à trois barbeaux nageants d'argent, l'un sur l'autre, surmontés de trois étoiles du du même, rangées en chef [Bonnevie] ; aux 2 et 3, d'azur, semé de fleurs-de-lys d'or, à la tour d'argent, maçonnée de sable, brochant sur le tout [La Tour d'Auvergne]. Supports : Deux lions, au naturel. (Auvergne, Bourbonnais)
Dampierre sur Salon (de) Maison éteinte au 14e siècle : De gueules, à deux bars adossés d'or. (Champagne)
Gaucourt (de) Marquis : D'hermine (alias d'or), à deux bars adossés de gueules. Cri : Gaucourt ! (Lorraine, Île-de-France, Picardie)
Lanneau (de) : D'azur, au barbeau d'argent, posé en fasce ; au chef aussi d'azur, chargé de trois besants d'or. (Bourgogne)
Marchin (de) Comtes du Saint-Empire, août 1658. Maison éteinte le 7 septembre 1706 : D'argent, au barbeau de gueules, mis en pal (souvent écartelé de Balzac). Cri : Marchin ! (Province de Liège)
Poisson de Marigny : De gueules, à deux bars adossés d'or. (Champagne)
Saisseval de Pissy et d'Ainville (de) : D'azur, à deux bars adossés d'argent alias d'azur, à deux bars adossés d'argent, accompagnés de quatre trèfles d'or, posés 1, 2 et 1. (Picardie)
Soye (de) Comtes romains, 1882 : D'argent, à deux bars adossés d'azur. (Luxembourg)
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Les différents termes propres au vocabulaire du blason sont détaillés, commentés et souvent illustrés à l'article correspondant du Glossaire héraldique.